Su reconnaitre, donner un nom, échappe assez pour, ne regarde jamais, que regarde plus pour, que n’intéresse non plus, que seuls quelques retiennent, pense, connais d’autres, serais incapable de, ne parle pas de, ne parle pas des noms, ni des choses, des noms trop nombreux pour désigner, que sont tout aussi nombreux et échappent à la nomination, que ne connais, ne cherche, ne trouve, sais que, mais ne recouvre aucune réalité sinon que regarde, regarde même, ne sais ce que, ne sais, sans pouvoir dire ce que, sans pouvoir dire, sinon que, sinon que regarde sans raison, suis, ne pense, suis ce problème, regarde ce, fixe, s’étonne des formes, apparaissent grâce à la conjonction comme évènement, surgissement, que regarde, considère sans, quelque chose se produit comme, pense que c’est cela que, qu’on ne peut pas le dire autrement, qu’on ne peut dire autre chose pour l’évoquer, que l’on peut dire n’est pas, serait plutôt, parce que, que l’on regarde enfin, que ce qui est regardé est, finit par, devient un objet, prend l’aspect de, devient, prend un relief, une histoire, est un destin pour, une psychologie que négocie, qu’étudie chacune des réactions, que fais le compte des erreurs stratégiques, qu’observe, que considère tous les mouvements, que focalise de très près jusqu’à l’infini – vision micro et macro combinés –, que suis invisible à l’extérieur de tout, que peux tout voir au ralenti, perçois les drames, les couches superposées, les éléments narratifs simultanés, l’impossibilité de croisement des destins indifférents à nos drames, que se dilate, qu’absorbe les choses, que reviens à, comprends, comprends forme, texture et dessin, perçois la dégradation, la perte de la couleur, pense à, suis enfin parmi, passe, repasse, établis les correspondances, regarde le tressage, les quelques lanières défaites – filaments noirs –, quelques feuilles mortes sur le sol et un pigeon qui avance tout prêt de ces lamelles, s’arrête et que perds.